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jeune public

Le journal d'un chat assassin

Senna'ga Cie spectacle Le journal d'un chat assassin

GÉNÉRIQUE

À partir de 7 ans

Durée 40mn

 

 

Auteur Anne Fine

Mise en scène et interprétation Agnès Pétreau

Décorateur Marc Anquetil

Chargée de diffusion Carine Steullet

 

Production : Senna'ga Cie

Partenaire : Association les Capucines, commune d’Éguilles

Parcours de création

 

Nous étions à la recherche d’un récit taillé sur mesure pour une comédienne. La forme du journal est apparue comme une évidence. Le regard d’un personnage sur son entourage offrait un espace de jeu certain."Le journal d’un chat assassin" est le premier épisode d’une série dont Tuffy le chat en est l’incontestable star. L’écriture théâtrale du récit ainsi que son humour très british nous ont convaincu de le mettre en scène. Le spectacle fait partie de nos formes légères et se joue à proximité du public.

Avec le succès de ce "Journal d’un chat", Agnès Pétreau a crée, quelques années plus tard, "Le noël du chat" librement inspiré de la série du chat assassin.

 

Fable

 

Le héros de cette histoire est bel et bien un chat. Il s'appelle Tuffy. Dans son journal intime il a noté jour après jour toutes ses mésaventures avec ses maîtres. Dans la famille il y a Ellie, sa jeune patronne, et puis la mère et le père d'Ellie. Lundi Tuffy tue un oiseau, quoi de plus normal ! "Si un chat n'a plus le droit de tuer les oiseaux, c'est un comble" nous confie-t-il. Mercredi c'est une souris morte qu'il ramène à la maison. Il se retrouve confronté à l'incompréhension de ses maîtres. Mais jeudi c'est l'apothéose: Tuffy rapporte un lapin mort. Les mésaventures commencent : c'est Thumper, le lapin des voisins.

Notes d’intentions dramaturgiques de la metteure en scène

 

Ce récit introduit symboliquement la notion de conflit entre la nature et la culture : "Si maintenant un chat n’a pas le droit de tuer les oiseaux, c’est un comble !". Comme dans "Le loup et l’agneau" de La Fontaine, on n’échappe pas à sa nature : un loup est un loup et un loup mange des agneaux, de même qu’un chat mange des souris quel que soit le discours tenu.

 

Le texte d’Anne Fine raconte l’histoire d’un chat qui pose sur ses maîtres un regard amusé. Dans son journal intime il dépose ses humeurs et ses plaintes. Souvent de mauvaise foi, toujours avec humour, il nous décrit sa vie comme une bande dessiné. Le portrait caricatural qu’il fait des hommes ne nous n’empêche pas d’en saisir les vérités et travers.

Il y a quelques années de cela j’avais fait la lecture de "Je suis un chat" de Natsume Sôseki. Ce récit fût inspirant lorsque j’ai abordé le travail du Journal d’un chat. Il décrit les relations d’un chat à son maître et en creux la satire désopilante d’une société japonaise en transition.

La presse

"Le journal d’un chat assassin a été programmé au Théâtre du Rond Point de Valréas. Beau succès pour la Cie Senna’ga et Agnès Pétreau, comédienne, seule en scène. (…) Le plaisir et l’intérêt des enfants étaient évidents à preuve, le silence quasi "religieux" qui régnait pendant qu’Agnès Pétreau se maquillait, dans mot dire, pour devenir Tuffy le chat, et les rires à peine contenus durant tout le spectacle. Il faut dire que les mimiques "chatoyantes" de l’actrice et la précision des déplacements et de sa dicton, étaient hypnotisantes.(…)"

La Provence

 

"(…) Les enfants de Grillon ont passé un moment merveilleux avec Tuffy, le chat qui raconte à sa façon comment il est passé de son statut d’animal privilégié à celui d’assassin, puis finalement de héros. (…) Les enfants, ravis, riaient aux éclats et prenaient finalement fait et cause pour l’accusé qui se tire fort bien de cette vilaine histoire, dont la morale est qu(il ne faut jamais juger trop vite."

La Provence

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DIAPORAMA

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